Stéphane Roudaut, président de la Chambre Syndicale des buralistes du Finistère et les membres de son bureau ainsi qu’Odile de Ny, présidente de la Fédération de Bretagne ont organisé cette journée et accompagné l’équipe de la Confédération menée par Alain Sauvage, trésorier général.

A Lambezellec, quartier dynamique de Brest, Sylvain Le Tallec tient le Score, qui fait bar, tabac et jeux.

Candidat au Fonds de Transformation, il vient de réaliser son audit avec la CCI de Bretagne.

L’évolution de son point de vente, il y pense depuis longtemps déjà.

Le fonds de transformation tombe à point pour réaliser son projet mûrement réfléchi et incontournable pour adapter son établissement aux nouveaux modes de consommation.

C’est chez Sylvain que la presse locale avait rendez-vous.

Ouest France, Bretagne Economie et RCF radio se succèdent pour couvrir, comprendre et commenter le grand mouvement  entamé par le premier réseau de commerces de France.

A la Chambre de Commerce et d'Industrie de Brest, rendez-vous était pris avec les élus locaux.

Ceux sont tout d’abord, Thierry Fayret, 1er adjoint et Christiane Migot, adjointe au commerce de la mairie de Brest qui ont souhaité échanger avec les représentants des buralistes.

Alain Sauvage, Odile Le Ny, Stéphane Roudaut et les membres des chambres syndicales ont tous ensemble dessiné le portrait de la profession de buraliste, dans son immense diversité et la multitude des produits et services proposés, ainsi que les possibilités de partenariat avec les services publiques :

"Le buraliste se transforme, au milieu d’une population qui évolue. On peut travailler ensemble, avec les élus locaux pour démultiplier l’action publique."

Très admiratif du dynamisme des buralistes, Thierry Fayret à l’issu de ce rendez-vous déclarait :

"On sent que vous avez confiance et votre démarche très structurée communique cette confiance et valorise votre réseau."  

Madame Graziella Melchior, députée de la 5e circonscription du Finistère, membre de la commission des affaires économique a aussi tenu à une rencontre.

Moins au fait de la diversité du métier de buraliste, Madame la députée a pu découvrir, lors de cette rencontre, que les buralistes reçoivent 10 millions de clients par jour dont 40% sont non-fumeurs.

La grande diversité des champs d’action du premier commerce de proximité et sa volonté d’évoluer pour répondre au plus près aux évolutions de la société lui ont aussi été présentés.

A l’issue du rendez-vous, elle a pu témoigner de son intérêt pour la démarche entamée par le réseau :

"La pire chose qui aurait pu vous arriver c’est de subir le changement. Mais vous prenez les devants, vous êtes actifs." 

A 19h30, toujours à la CCI de Brest, les buralistes du département et de la fédération ce sont réunis pour échanger sur le Fonds de Transformation.

Après une présentation très pratico-pratique et une intervention de Fabien Barbier, auditeur à la CCI de Quimper expliquant la mise en place des audits, l’auditoire a posé des questions très précises, reflétant l’intérêt réel des buralistes, quelques inquiétudes et quelques points de blocage auquel les représentants de la Confédération ont répondu ou ont promis de répondre de façon personnelle.

Car chaque réunion désormais apporte ces questions spécifiques, soulevant parfois le besoin d’interroger directement les douanes.

La mise en œuvre du Fonds de Transformation se construit, au fur et à mesure que les projets prennent forme, et évolue avec les buralistes.

Une construction collective pour tout le réseau.